La danse orientale est un art d’origine égyptienne, développé en Asie et en Afrique. C’est une technique permettant de maigrir de façon naturelle, surtout au niveau du ventre. En effet, la plupart des pratiquants l’appellent sous le nom de ‘’la danse du ventre’’.
En général, la danse orientale est pratiquée par les femmes égyptiennes, pour exprimer leur vitalité, leur féminité, leurs peines et leurs sentiments. Elle a commencé à se répandre et actuellement, un plus grand nombre de femmes dans le monde la pratiquent. Cette danse apporte beaucoup d’avantages, que ce soit dans la vie quotidienne ou dans le domaine de la thérapie générale.
Il faut la maîtriser pour la mettre en valeur face aux types de danses existantes. C’est pour cela que tant de centres et d’écoles de danse à travers le monde l’enseignent. Voici quelques raisons de pratiquer la danse orientale dans la vie quotidienne.
Petite histoire de la danse orientale
La danse orientale ou « Raqs sharqi » en arabe, était auparavant, une danse religieuse qui avait pour but de préparer et de faciliter les accouchements. Son concept est la relation entre la terre et la fécondité. Elle est considérée comme l’une des plus célèbres danses du monde à l’époque de Napoléon (entre les années 1790 et 1815).
Au Xe siècle, elle a connu une évolution particulière chez les peuples égyptiens et indiens.
En 1926, elle a pris sa place au Caire grâce à Badia Masabni, une célèbre actrice et danseuse syrienne. De ce fait, Le Caire est devenu la capitale de cette danse pendant l’année 1930. Entre autres, des danseuses orientales comme Samia Gamal, l’ont rendu plus stylée, grâce à son apprentissage avec des professeurs de ballet classique. Le mouvement du tronc et celui du bassin ont démarqué le nouveau style.
À une certaine époque, la pratique de la danse orientale était interdite dans de nombreux pays. Les danseuses égyptiennes étaient même considérées comme des prostituées, en raison du mouvement de soulèvement de la voile pendant la danse et des agitations fréquentes de la partie inférieure du corps. Mais maintenant, la danse orientale peut être exposée aux théâtres par les jeunes.
Les différents styles de la danse orientale
La danse orientale se présente sous différentes formes, selon chaque pays. Voici quelques exemples :
– Le Baladi et Shaab : la danse la plus populaire en Asie.
– Le Raqs Sharqi en Arabe.
– Le Fellahi : une danse paysanne représentant les tâches quotidiennes. Celle-ci se réalise par le port de robes longues.
– Le Meleya ou Eskandarini : une danse théâtrale d’Alexandrie, pratiquée à l’aide d’un tissu assez lourd et une robe courte.
– Le Mambouti : une danse exprimant tous les gestes des pêcheurs par excellence.
– Le Khaleegi : une danse du Moyen-Orient. Seules les femmes ayant des cheveux longs peuvent la pratiquer.
– Le Saïdi : une danse masculine montrant les gestes durant un combat, la chorégraphie est effectuée avec une canne ou un bâton.
– Le Debke : encore une danse masculine qui se fait avec les pieds seulement (tape du pied.), avec un foulard et des bottes.
Les sept raisons de pratiquer la danse orientale
Pour les Égyptiennes et les Asiatiques, la pratique de la danse leur permet de soulager, d’exprimer leur joie et leurs sentiments. Cela marque aussi leur féminité. Grâce aux différents gestes réalisés durant la séance, la danse orientale nous offre plusieurs avantages comme :
– la musculation du corps et la perte du poids,
– l’amélioration de la posture,
– la tonification des muscles des parties sensibles,
– la prévention contre l’ostéoporose et le renforcement des os du corps humain,
– la réduction du stress,
– la préparation à l’accouchement (la tonification du périnée, la prévention des spasmes cervicaux ou de l’épisiotomie, etc.),
– la remise en forme du corps après l’accouchement.
En bref, la pratique de la danse orientale est accessible à tous, car elle aide beaucoup à la croissance du corps et préserve la beauté de la silhouette. De plus, elle maintient la jeunesse. Enfin, la danse orientale est aussi un divertissement qui améliore le développement cérébral des enfants.